SIGNALEMENTS ANCIENNE MUNICIPALITE
CARREFOUR GAUDIN/BASSET (février 2018)
TERRAINS RUE BARTOLINI (juillet 2017)
ENTRETIEN TERRAIN MASANTE (septembre 2016)
LOCAUX DU CULTE CATHOLIQUE (novembre 2014)
RUE VICTOR HUGO/AVENUE DE LA LIBERATION(décembre 2014)
PENALITES EAU (septembre 2018)
SIGNALEMENTS NOUVELLE MUNICIPALITE
SOLDER LES COMPTES AVEC SUEZ (juillet 2020)
EPICERIE SOLIDAIRE (juin 2022)
AIRE DE CAMPING-CARS (août 2022)
SAUVER LA FOIRE (novembre 2022)
ETENDUE DU CENTRE VILLE (décembre 2022)
QUE LA LUMIERE SOIT ! (février 2023)
CRECHES PARENTALES (mars 2023)
SITE DE SAINT BARTHELEMY (mai 2023)
QUEL CENTRE VILLE POUR SALERNES ? (juillet 2023)
LOCAUX DU CULTE CATHOLIQUE (novembre 2014)
Contexte: La fermeture des fontaines suscite nombre de récriminations. Je m’en suis fait l’écho en adressant le courrier suivant:
« A l’occasion de mes pérégrinations dans le village, de nombreux habitants m’ont interpellé sur la non mise en eau des fontaines.
De fait, c’est une situation qui perdure depuis de nombreuses années sans trouver une solution pérenne globale.
Pour essayer d’avancer sur ce problème ne peut-on :
-
réaliser une liste de toutes les fontaines avec, pour chacune d’elle, indication des éventuels problèmes techniques qui s’opposent à une mise en charge .
-
établir un planning des réparations à effectuer.
-
débattre des solutions à mettre en œuvre, au cas par cas, pour une alimentation en eau maîtrisée : circuit fermé, bouton poussoir, pose d’horloge, alimentation en eau non potable, etc… »
Situation actuelle: Aucune réunion ne s’est tenue mais des remises en eau intermittentes ont été effectuées.
TERRAINS RUE BARTOLINI (juillet 2017)
Contexte: Au centre du quadrilatère formé par les rues Jean Bartolini, Longue, Pierre Blanc et le boulevard Paul Cotte, existe un espace libre de toute construction, espace affecté pour partie à l’usage de jardins.
Or, pour diverses raisons, certains de ces terrains, et en particulier celui de Monsieur Lambert, sont en l’état d’abandon.
Aujourd’hui, avec les conditions climatiques que nous connaissons, ils représentent un réel risque d’incendie et je pense nécessaire de mettre le propriétaire en demeure d’entretenir.
situation actuelle: pas d’intervention connue pour remédier à la situation.
CARREFOUR GAUDIN/BASSET (février 2018)
Contexte: La configuration particulière du carrefour Pierre Gaudin / Edouard Basset ( avenue en pente, visibilité réduite) génère un risque pour la circulation automobile.
En effet l’on ne compte plus les freinages intempestifs, ni les accrochages plus ou moins graves entre véhicules descendant le Nail et ceux qui, venant de la rue Edouard Basset, désirent emprunter l’avenue Pierre Gaudin.
je pense qu’il pourrait être opportun d’y positionner, en amont, des panneaux rappelant de façon très marquée la priorité à droite.
situation actuelle: aucune intervention
Contexte: Une circulation parasite de deux roues se produisant sur l’aqueduc qui surplombe l’avenue de l’Europe j’ai adressé le courrier suivant à Madame le Maire:
« Des résidents des quartiers limitrophes de l’aqueduc qui enjambe l’avenue de l’Europe ont attiré mon attention sur un phénomène ayant tendance à devenir récurent: il s’agit de l’utilisation de plus en plus fréquente de cet ouvrage d’art comme d’un passage pour cycles motorisés.
En plus des dommages que peuvent créer ceux-ci en amont et en aval à une des branches du canal d’irrigation de saint Barthélémy, il y a un réel danger de basculement des pilotes sur l’axe routier enjambé.
Ce sont les raisons pour lesquelles il me semble qu’un dispositif empêchant la pratique sus évoquée, tout en continuant de permettre le passage des nombreux usagers pédestre, devrait être mis en place. »
situation actuelle: L’ouvrage étant de la responsabilité départementale, la mairie est intervenue auprès du conseil départemental. Celui-ci a détaché des techniciens qui sont venus prendre la mesure du problème. Pas de suite à ce jour.
SOLDER LES COMPTES AVEC SUEZ (juillet 2020)
Contexte: A l’occasion de chaque réunion du conseil municipal qui abordait les relations avec SUEZ (ex SEERC) concessionnaire de l’eau et l’assainissement, j’ai demandé à ce que soit dressé un bilan financier des mesures prises. Malgré y compris nombre de courriers ou de tracts publics ce fût peine perdue.
Compte tenu du transfert des compétences eau et assainissement à l’intercommunalité à compter du 1 janvier 2020, j’ai adressé le 24 septembre 2019 à chacun de mes collègues du conseil municipal un dossier complet des points qui me semblaient litigieux afin que nous nous prononcions avant la fin de l’année. Aucune réaction.
Le 6 janvier 2020 j’ai donc envoyé le même dossier au président de l’intercommunalité afin qu’il soit étudié par les soins de DPVa.
En conséquence au conseil municipal du 17 juillet 2020 j’ai proposé qu’un groupe d’étude local soit mis en place sur cette affaire. Il s’est réuni le 26 novembre 2020 et a été suivi d’une séance de travail avec DPVa le 14 janvier 2021..
Depuis cette date le dossier n’a pas évolué et j’ai constaté d’une part « qu’avec la majorité municipale nous n’avions pas les mêmes opiniâtretés vis à vis des positions à défendre » (courrier au maire du 21 mars 2022) et d’autre part le peu d’implication des élus majoritaires concernant l’eau et l’assainissement(pour cette raison par courrier précité j’ai démissionné de la vice présidence de la commission eau).
Situation actuelle: Les contrats eau et assainissement viennent à échéance le 31 décembre 2023. J’ai assisté à 2 réunions (dont la dernière le 2 juin 2023) destinées à envisager la suite. Le solde du passé y a été évoqué « en passant ».
SAUVER LA FOIRE (novembre 2022)
Contexte: En plagiant une maxime connue l’on peut dire que : « une commune sans histoire est une commune sans avenir ». Et cela concerne tant le patrimoine physique que l’immatériel. Il est donc vital de veiller à préserver les témoignages du passé quitte à en adapter l’usage ou a en conserver une trace lorsque l’évolution les rend obsolètes par rapport aux nouveaux modes de vie.
C’est la problématique à laquelle s’est trouvée confrontée la foire de la sainte Catherine de Salernes. Après une lente agonie elle a été rayée du patrimoine local le 25 novembre 2022. Certes il était devenu évident que son format ancien était inadapté aux nouvelles attentes des consommateurs. Mais n’y avait-il pas une autre solution?
Avec mes colistiers, nous avons proposé, en y associant le commerce local, d’ouvrir cette journée, voire la semaine environnante, aux diverses productions alimentaires et culturelles des différentes régions françaises et pays d’origine des habitants de Salernes.
En sus de son aspect commercial nous pensons qu’une telle initiative peut contribuer à porter un autre regard sur « l’étranger » et favoriser la création de liens indispensables à la vie de la communauté salernoise. Développer une identité locale s’appuyant sur l’héritage du passé n’est-il pas le moyen d’éviter des fracturations mortifères ?
Situation actuelle: A notre connaissance pas d’échanges prévus sur cette proposition ou toute autre.
ETENDUE DU CENTRE VILLE (décembre 2022)
Contexte: Lors du conseil municipal qui s’est tenu le 15 décembre à 18 h, a été soumise au vote une délibération concernant le dossier « petite ville de demain » dont les pièces explicatives composées de plus de 1 200 pages n’ont été transmises que le même jour à 15h10!
Sans préjuger de l’expression à venir sur l’ensemble de ces dossiers annexes, un point à lui seul a été suffisant pour me conduire à refuser d’adopter le texte proposé. Il vise à réduire la notion de centre-ville au Cours Théodore Bouge et à la place Clémenceau qui par voie de conséquence sont qualifiées de priorité 1.
J’ai publiquement pris la parole pour refuser ce « rétrécissement » et demander à ce que la notion de centre-ville s’étende à l’ensemble de la rue Pierre Blanc, la place de la République, la place Gabriel Péri et la rue Sous-Clastre. Cela supposant aussi que ces lieux passent en priorité 1 et soient considérés comme un secteur participant dans son ensemble à la vie économique du centre ville.
Situation actuelle: A l’accoutumé aucun débat n’a été lancé à ce sujet par la majorité municipale. Par contre a été proposée une extension du marché, proposition si l’on peut dire car aucun document communiqué sur la nature de l’extension: étendue, nature, fonctionnement, etc…
QUE LA LUMIERE SOIT ! (février 2023)
Contexte: Le conseil municipal du 30 septembre 2022 a décidé du principe de l’interruption de l’éclairage public la nuit de 23h à 5h du matin. J’ai voté pour cette décision car, comme en fait foi le compte rendu de la séance, suite à mon intervention l’application de la mesure était conditionnée à un échange préalable, entre autres, sur les lieux concernés.
Qu’elle a été ma surprise, et celle de nombreux salernois, de constater que l’éclairage sur le Cours Théodore Bouge était purement et simplement supprimé à toute heure et en totalité.
Immédiatement j’ai demandé à ce que l’alimentation électrique du cours reste connectée à celle des rues environnantes, et que si économies devaient être réalisées, elles pouvaient s’accomplir en ne mettant en service qu’un lampadaire sur deux ou un seul foyer lumineux par candélabre.
Situation actuelle: La seconde suggestion a été retenue. Toujours pas d’échange annoncé pour arrêter les modalités d’application de la décision du conseil municipal.
PENALITES EAU (septembre 2018)
Contexte: le compte rendu de la séance du conseil municipal est très clair: « Il est proposé aux membres du Conseil Municipal, d’approuver les termes de l’avenant n°2 (entre autres suppression d’une des pénalités prévues au contrat). Monsieur OLIVIER demande quelle formule de pénalités rapporte le plus. Monsieur HARRY (le cabinet conseil de la ville) confirme qu’il s’agit de celle que l’on supprime.
ll (Monsieur Harry) rappelle que le contrat a été signé en 2012 et qu’il comporte une clause de révision. La SEERC a saisi la commune il y a deux ans (2016) pour obtenir une révision. il y a beaucoup de coquilles dans le contrat initial, entre autre concernant les articles sur les pénalités. Celui qui est conservé est celui qui apparaît habituellement sur les contrats de ce type.
Situation actuelle: Résultat du vote sur la suppression d’une pénalité : 26 pour, 1 contre (Maurice OLIVIER). L’application de la pénalité maintenue a généré un montant d’environ 1 300€ pour 6 ans alors que celle supprimée permettrait d’obtenir plusieurs milliers d’euros de dédommagement.
Autre élément: l’annulation d’une des pénalités n’a été votée qu’en septembre 2018. Le contrat s’applique donc en totalité pour la période 2012-2018. Alors pourquoi l’ensemble des pénalités qui en découlent n’a t’il pas été mis en recouvrement?
Un nouveau calcul des pénalités a été communiqué par le cabinet contrôle mis en place par DPVa dans le cadre de l’analyse commandée en raison de la fin du contrat actuel en décembre 2023. J’en ai entrepris l’étude.
SITE DE SAINT BARTHELEMY (mai 2023)
Contexte: Suite à une remarque d’un usager et après visite du site de Saint Barthélémy, dont l’entretien incombe à la commune en application d’une convention signée avec le département, j’ai constaté qu’il existe bien sur place un dispositif destiné à récupérer ce dont désire se séparer les promeneurs. Il est constitué de 2 containers mais ces bacs sont quasiment invisibles à qui ne se rend pas aux toilettes, étant positionnés à l’arrière du bâtiment. Ne pourrait-on positionner l’un d’entre eux coté parking, en limite de la passerelle point d’accès essentiel au site ?
Situation actuelle: en attente des suites données à cette proposition
Contexte: A l’issue de la séance du dernier conseil municipal le 16 mai, lors du temps accordé au public pour faire part de ses éventuelles interrogations, le représentant du CIQ est intervenu, entre autres, au sujet des ordures ménagères. Plus précisément il a abordé le cas des difficultés rencontrées par certains de nos concitoyens pour se rendre aux points d’apports volontaires (obligatoires).
Ce sont bien les élus du conseil d’agglomération qui ont décidé de modifier, pour des impératifs essentiellement financiers et environnementaux, le mode de collecte des ordures ménagères. Toute modification volontaire de celui-ci, ou prise en charge de ses effets collatéraux, ne peut émaner que d’une nouvelle décision de cette assemblée. Cela risque de prendre un certain temps.
Toutefois, quelques soient les transferts de compétence mis en œuvre, par la loi, la commune garde compétence pour tout ce qui concerne directement ses administrés donc intervenir y compris dans les domaines n’étant plus de sa compétence première.
De plus, il convient de noter que le service exécuté par l’agglomération, et rémunéré par la perception de la TOM, ne couvre que la récupération des déchets à partir des PAV(O) et leur élimination. Les moyens mis en œuvre pour l’apport du domicile des particuliers au point de collecte ne relèvent pas de la compétence transférée.
Il semble donc envisageable, sous l’égide du CCAS, l’apport d’une aide aux personnes isolées dans l’incapacité de se mouvoir, aide pouvant être encadrée par le biais d’un mini contrat individuel abordant y compris l’aspect financier de la prestation.
Situation actuelle: en attente des suites données à cette proposition
CRECHES PARENTALES (mars 2023)
Contexte: Au CCAS lors des ateliers des 25 et 26 janvier consacrés à l’analyse des besoins sociaux s’est déroulé un échange sur les crèches parentales. Le débat sur ce sujet a rebondi lors du conseil d’administration du 9 mars, toujours en l’absence de dossier précis.
Pour poursuivre et clore les débat il semble de bon sens que soient étudiées, et éventuellement adaptées, les 2 conventions existantes, l’une avec « le petit câlin » de Salernes, l’autre avec « leï drôles » de Villecroze, et cela sous la direction et la responsabilité du CCAS.
Situation actuelle: en attente des suites données à cette proposition
AIRE DE CAMPING-CARS ( août 2022)
Contexte: Rive droite de la Bresque, juste après Terra Rossa, sur un espace communal, stationnent des camping-cars. Qui passe à proximité peut constater que ce lieu fonctionne à la bonne franquette et offre, en libre service, hébergement et accès à diverses facilités comme l’eau et l’assainissement. C’est le symbole d’une terre de liberté.
Peut être même qu’il s’agit du début de l’évolution promise par le projet « petite ville de demain » ambitionnant de faire subir à notre commune la mutation « village vers ville ». Cette aire est la preuve de notre avant-gardisme puisque, comme les grandes villes, nous possédons déjà notre zone de non droit!
Situation actuelle: il est plus que temps de tenir une séance pour régler les problèmes posés, séance mainte fois promise et mainte fois différée.
EPICERIE SOLIDAIRE ( juin 2022)
Contexte: il existe depuis plusieurs année un embryon d’épicerie solidaire qui fonctionne cahin-caha et qui peine à répondre à la demande. Sur ce constat, dans un mouvement on ne peut plus impulsif, il aurait fallu déloger quasi manu militari des occupants de divers locaux pour les affecter à ce nouvel usage. Bien évidemment cette manière de procéder ne pouvait que susciter resistance et rejet.
Ne peut-on prendre le temps sous l’égide du CCAS de construire un vrai projet définissant clairement l’objectif de l’action à entreprendre, son mode de fonctionnement, son prévisionnel financier, le soutien à lui apporter, etc…
Situation actuelle: en attente des suites éventuelles données à cette proposition.
QUEL CENTRE VILLE POUR SALERNES ?
Contexte:
Les évolutions antérieures :
Le centre ville se situait dans l’espace délimité par le carrefour Pierre Blanc/Edouard Basset/Jean-Jacques Rousseau, les places Gabriel Péri et de La République, la rue Pierre Blanc dans son intégralité et le cours Théodore Bouge.
Il comportait des lieux symboliques : L’hôtel de ville, l’église, le monument aux morts, la trésorerie municipale, le bureau de poste, le marché forain. Au fil du temps l’hôtel de ville, le monument aux morts, la trésorerie municipale (avant disparition totale), le bureau de poste (réduit et menacé) étaient regroupés place Georges Clémenceau.
Au point de vue économique les effets des mutations en œuvre nationalement ont été accentués par l’implantation de trois moyennes surfaces à l’Est de la commune et le développement de zones conséquentes d’habitations sans contact direct avec l’agglomération initiale.
Pistes de réflexion et de propositions :
- Retenir comme « centre-ville » la place George Clémenceau, le cours Théodore Bouge, les rues Pierre Blanc et sous-Clastre, les places de la République et Gabriel Péri.
- Dans un premier temps : piétonniser le centre-ville les dimanches.
- Mettre en circulation alternée la rue Edouard Basset en lien avec les phases de piétonnisation du centre-ville.
- Créer et favoriser des animations adaptées rue Pierre Blanc, places de la République et Gabriel Péri.
Revenir sur :
- Le refus de classer en priorité de revitalisation les rues Pierre Blanc et Sous-Clastre ainsi que les places de la République et Gabriel Péri (décision de la majorité lors du conseil municipal du 15/12/2022).
- L’abandon des travaux pont de l’abattoir, travaux pourtant indispensables à l’utilisation de nombreuses places de parking rive gauche de la Bresque (décisions de la majorité lors de conseils municipaux en 2021/2022 et 2023).
- Le projet d’accentuer encore l’attractivité de l’Est de la commune en y implantant des équipements publics (décision de la majorité lors du conseil municipal du 3/02/2023).
- La pratique de concentrer exclusivement les activités municipales d’animations sur le cours Théodore Bouge surtout les jours de marché.
Situation actuelle: aucune envie de débattre de la part de l’équipe municipale.